Z. Je ne vous parlerai pas de Zezette qui a été un grand moment de ma vie gaie. Zezette, ce n’était pas son vrai nom (vous vous en seriez douté !). En réalité il s’appelait Jean Claude mais avec son cheveu sur la langue, quand il s’est présenté il m’a dit : «Bonzour, ze m’appelle Zean Claude » et le surnom de Zezette lui est resté. Quand j’ai vu l’hyperactivité qu’il montrait sur le lieu de drague, j’ai compris qu’un cheveu (ou plutôt un poil) pouvait lui être resté sur la langue ! Comme il semblait être connu, testé et approuvé par pas mal de personnes, j’ai donc testé à mon tour…et apprécié ses prestations !
Mais mon Z à moi, c’est Zinédine plus connu sous le surnom de Zizou. Je vous vois déjà frétiller devant votre ordi : on s’en doutait un peu en voyant son amour des vestiaires et son sourire si doux. Détrompez vous, le mien de Zizou n’est une star que dans la banlieue de Bizerte, et en plus il ne joue pas au foot mais se montre beaucoup sur les plages de la région avec sa planche à voile.
Cette planche lui permet de briller devant les nanas qui badent devant ses abdos et de s’éloigner des plages trop fréquentées pour rejoindre les criques dans lesquelles il sait qu’il trouvera des mecs tout à fait disposés à fondre sous son charme. Et du coté charme, il ne manque pas d’arguments. Ses abdos taillés au couteau, son bronzage parfait, son sourire avec de belles dents blanches, et, lorsqu’on arrive à lui faire baisser son boxer, une queue à rendre jaloux la terre entière, pas par sa taille, mais par son harmonie. Qu’est ce que pour moi une queue harmonieuse me direz-vous ! Il faut qu’elle ne soit ni trop grosse et agressive, ni trop petite comme si sa timidité la poussait à se cacher. Je n’aime pas non plus celles qui sont couvertes de veines trop apparentes et il faut qu’il y ait, sous cette queue, des couilles ni trop pendantes, ni trop rétractées. Je suis peut être difficile mais pour ce qui est de Zizou, il a un très beau sexe à mon goût.
Et non seulement il a un beau sexe mais il sait s’en servir. J’étais seul dans cette petite crique (faut vous dire que je m’étais tapé presque une demi-heure de marche pour y arriver) et j’exposais mon beau corps d’athlète, enfin, mon corps, nu au soleil de septembre. Je l’ai vu de loin mais je ne pensais pas qu’il viendrait me rejoindre. Et il est venu !
- T’es bien ici, y’a personne, c’est calme.
- Pour se faire bronzer à poil, il vaut mieux parce que je ne sais pas comment ce serait pris par ici.
- Pas de problème, personne ne vient jamais. T’as laissé ta gazelle à l’hôtel ?
- Non, je suis seul.
- Je peux rester, ça ne te dérange pas ?
Il m’a demandé dans un premier temps s’il pouvait s’asseoir sur ma serviette pour se reposer et dans un second temps s’il pouvait lui aussi enlever son boxer. Quand on est à l’étranger et qu’on a un minimum de savoir vivre, il y a des choses qu’on ne peut refuser aux autochtones. J’ai donc accepté ses deux propositions. Et dès que le boxer est tombé, je me suis rendu compte que je ne laissais pas Zizou totalement indifférent.
Il a commencé à me caresser les fesses et très vite a glissé un doigt dans mon trou. C’était fort agréable et excitant mais j’ai vite calmé ses ardeurs lorsqu’il s’est allongé sur moi et a essayé de me pénétrer. Il n’a pas compris mon refus car d’un autre coté, je ne pouvais pas non plus cacher mon excitation et mon plaisir. Je lui ai dit que je ne faisais jamais ça sans préservatif et que je n’en avais pas dans mon sac. Il s’est contenté d’une pipe avant de se rhabiller et de rejoindre sa planche. Au moment ou il allait quitter la rive, il s’est retourné et, avec un large sourire, m’a dit : « à demain et avec des capotes ».
J’étais au rendez vous et j’ai du attendre la fin d’après midi pour voir arriver la planche à voile. Son attitude avait changé depuis la veille. Cette fois il m’a embrassé et a caressé mon sexe. Il m’a baisé avec délicatesse et est resté un long moment avec moi à me câliner avant de repartir. J’étais surpris car ce n’est pas trop habituel ici où généralement le rapport se conçoit, comme une valse, en trois temps : Tu me suces, je t’encule, tu me payes !
Nos rencontres sont devenues quotidiennes et j’étais chaque jour sur ma petite plage perdue en attendant que sa planche ne fende les flots. Zizou ne cherchait pas seulement à se vider les couilles en se faisant un touriste mais devenait chaque fois plus affectueux et tendre. Il n’en est pas arrivé à me sucer, mais il me masturbait tout en me prenant.
Il embrassait maintenant avec fougue et visiblement beaucoup de plaisir. Je n’avais plus du tout la sensation qu’il « se faisait un touriste » mais je sentais qu’il prenait du plaisir et essayait d’en donner dans les limites qu’à son avis, sa religion lui imposait.
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