samedi 5 mars 2011






O. pour les personnes de ma génération c’est une foultitude d’Olivier, un Octavio à Gènes, et un Oussama  (ne riez pas et ne m’envoyez pas la police de Bush : ce n'est pas le même. Le mien était jeune, mignon, doux comme un agneau et offrait sa queue à sucer gratuitement, fait rare à Agadir). 
Olivier, le mien, enfin celui dont j’ai envie de parler parce qu’en réalité ce n’était pas que le mien vu que sa femme le croyait fidèle, je l’ai rencontré grâce à une lombalgie aiguë : il est kiné ! 

Le médecin m’a prescrit des antalgiques, des anti-inflammatoires et des séances de kiné. Je me suis donc pointé au cabinet le plus proche de chez moi et on m’a laissé le choix entre une femme et un homme. Je n’ai pas hésité une heure. 

Le cabinet était décoré de photos d’enfants : les siens. D’entrée, même si le mec est charmant, ça glace un peu. Il avait une main des plus douces et des plus professionnelles. Il m’a baissé mon slip pour dégager le bas des reins. Je lui ai dit que je pouvais l’enlever si ça lui allait mieux, il m’a de suite dit que ce n’était pas la peine, qu’il avait assez de place pour travailler comme ça. D’un autre côté, ce n’était,  à l’usage, pas plus mal parce que ses massages ne me laissaient pas indifférents et que les raideurs avaient tendance à se déplacer. 

On a vite sympathisé. Il travaillait dans ce cabinet qui proposait, en plus de la kinési, une salle de gym très équipée et un sauna. J’ai vite pris l’habitude d’aller au sauna, il m’avait proposé un abonnement et j’aime beaucoup ça. 

Mes séances étaient terminées mais je continuais à aller au sauna un soir par semaine après le travail. J’y étais toujours seul car il le faisait fonctionner sur rendez-vous et je pouvais ainsi m’y mettre nu. Un soir alors que je venais de commencer ma séance il m’a demandé si ça me gênait qu’il me rejoigne car il avait fini sa journée. J’ai de suite accepté en me disant que ce serait sympa de mieux le connaître hors de ses soins.



 Quand il est entré dans la cabine, il avait une serviette autour des reins. Quand il m’a vu nu, il m’a de suite dit que quand il était seul, lui aussi prenait ses saunas nu et, après que je lui ai dit que ça ne me gênait pas, il a enlevé la serviette. Il s’est assis à coté de moi et la conversation s’est vite engagée. Je lorgnais de son coté et me disais que sa femme avait beaucoup de chance. Il était très bien bâti et que sous sa blouse blanche, il y avait vraiment un beau mec. Je suis allé me rafraîchir puis dès que je suis revenu dans le sauna, il y est allé à son tour. Quand il est revenu, il s’est assis bien plus près de moi, sa main touchait ma main. J’ai écarté le petit doigt et il n’a pas bougé quand je l’ai touché à mon tour. Puis il a dégagé sa main qui était sous la mienne pour la mettre sur ma cuisse. J’ai immédiatement bandé et en regardant de son coté j’ai pu remarquer qu’il n’était pas de bois. Nous nous sommes regardé, il s’est approché et un long baisé a suivi. 

Il m’a allongé sur le banc du bas, là où le sauna est le moins chaud, et a commencé à me caresser. Je savais d’expérience qu’il massait très bien et je découvrais qu’il caressait tout aussi bien. Je me suis aventuré à la découverte de son corps. Il était musclé mais sans trop, tout naturellement. C’est certainement les efforts physiques qu’il faisait dans son job qui lui suffisaient à avoir ce corps. Je massais mon masseur … et il aimait ça ! 

Sa main s’est glissée entre mes cuisses, il s’occupait avec délicatesse de mes couilles. Il est remonté doucement sur ma verge et l’a branlée. Je sentais que j’allais exploser. Je l’ai fait s’arrêter et à mon tour j’ai exploré  la partie la plus intime de son anatomie. Il bandait. Je me suis penché pour le sucer, il aimait ça et commençait à se tordre en gémissant. Il m’a dit qu’il allait jouir très vite car il n’avait pas trop l’habitude avec un mec et que la situation l’excitait au plus haut point. Je ne l’ai pas écouté et dans un râle, il m’a giclé son jus chaud dans la bouche. J’ai gardé son sexe en continuant à le lécher et me suis masturbé. J’ai joui par terre, la femme de ménage essuiera tout ça demain ! 

Une petite douche et tout semblait redevenu normal. Il n’était pas trop à l’aise et m’a redit qu’il était désolé de ce qui s’était passé, il était marié, père de famille et n’avait pas coutume de s’abandonner ainsi, surtout avec un patient. 
 
J’y suis retourné régulièrement en espérant qu’il reviendrait avec moi. S’il m’accueillait avec beaucoup de gentillesse, il ne m’a jamais rejoint. J’ai fini par me lasser d’attendre et ai trouvé un sauna gay dans la ville voisine où j’ai pris mes habitudes. Je suis retourné chez Olivier pour des soins, il a été très pro et sans allusion à notre soirée découverte, dommage ! 
 

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