samedi 12 mars 2011

H. comme Henry, Harry, (non, je n’ai pas couché avec Harry Potter mais juste avec un homonyme !), et bien sur comme Hervé. Et Hervé, dans les années soixante, c’est un prénom qui a été donné à de nombreux bambins. J’en ai croisé pas mal dans ma vie professionnelle et plusieurs dans ma vie sentimentale. 
 
Celui qui m’a laissé le meilleur souvenir était un collègue de travail. Et, pour une fois, j’ai mélangé travail et plaisir ce qui est très souvent casse-gueule.  
J’avais remarqué qu’il essayait de se rapprocher de moi. Il avait soif en même temps que moi, venait fumer avec moi sur le balcon et se trouvait par hasard aux toilettes quand j’y étais. Nous pissions cote à cote, l’air dégagé, et l’œil rivé sur la bite du voisin ! 

Mais j’hésitais à me rapprocher plus de lui car j’avais retenu la leçon donnée par mes supérieurs : ne jamais mélanger vie privée et vie professionnelle. Et puis un jour je me suis lancé, je l’ai invité à venir boire un verre en ville. Il a semblé ravi de l’invitation et ne s’est pas fait prier. 

Il était devant le « Bar à thym » quand je m’y suis pointé. Il m’a tout de suite dit combien il était heureux de ma proposition parce qu’il était seul ici et qu’après le travail les soirées étaient longues. Ses parents habitaient relativement loin et il ne retournait chez lui que les week-ends. C’était son premier job et il était un peu perdu dans cette ville qu’il ne connaissait pas. Nous avons bu notre apéro en faisant plus ample connaissance et comme je n’avais rien prévu ce soir là (enfin, pour être honnête, je n’avais rien programmé en espérant que peut être….) et lui non plus, nous sommes allé manger dans un resto que j’aimais beaucoup. 

Après le repas, j’ai sorti le grand jeu c’est à dire le plus grossier qu’on puisse imaginer : je l’ai invité à venir boire un dernier verre chez moi ! (Je suis certain que vous n’y auriez pas pensé !)… 

Hervé ne tenait pas trop l’alcool et, pour éviter qu’il ne coure un risque en prenant le volant pour rentrer chez lui, je luis ai proposé de passer la nuit chez moi : on n’est jamais assez prudent et je m’en serais voulu jusqu’à la fin de mes jours s’il lui était arrivé quelque chose. Je me surprends parfois moi-même par ma prévenance et ma gentillesse. 

Une petite douche et au lit. Enfin, dans mon lit puisque je n’en avais qu’un. Je lui ai demandé si ça ne le gênait pas que je dorme à poil parce que j’avais l’habitude de dormir en tenue d’Adam. Il a fait de même.  

Nous étions cote à cote, comme deux cadavres, sans oser bouger ni l’un ni l’autre. J’ai fait semblant de m’endormir et me suis retourné, juste pour laisser ma main venir se poser contre sa hanche. Il s’est délicatement tourné lui aussi et c’est son sexe qui frôlait ma main. Et je peux vous assurer qu’il y avait du monde au balcon. J’ai commencé à promener mon index sur sa verge raidie puis c’est ma main qui a saisi son sexe entièrement. Il s’est rapproché de moi et m’a pris dans ses bras. Il m’a fait mettre sur le dos et s’est glissé sur moi et tout en m’embrassant, il a commencé à frotter son engin sur mon ventre. Mon sexe maintenant en pleine forme participait au jeu. Hervé s’est glissé sur moi, m’a titillé les tétons avec sa bouche, les a pincés entre ses dents : c’était à la fois douloureux et très très bon. Il a continué son exploration, m’a léché le nombril avant de prendre ma bite dans sa bouche gourmande. Quel pied ! Sa langue remontait sur mon sexe des couilles jusqu’au gland. A chaque passage mon plaisir grandissait et je sentais monter en moi la tension qui précède l’extase et l’éjaculation. 

Je l’ai poussé et ai inversé les rôles et à mon tour j’ai exploré son corps de mes baisers. Quand j’ai eu terminé avec le coté face, je me suis lancé dans l’exploration du coté pile. Il a adoré quand ma langue lui a léché le creux derrière le genou : il se tordait de plaisir en geignant. Je suis remonté explorer sa raie puis doucement j’ai écarté ses jambes pour entrer le bout de ma langue dans son anus. Il gémissait sous ma langue, j’ai pensé que le moment était venu de conclure, je suis remonté contre son dos et l’ai pénétré lentement, profondément. Il a aimé, moi aussi ! 
  
Quand j’ai senti que je n’allais plus pouvoir me retenir, je l’ai fait basculer sur le coté et l’ai masturbé : nous avons joui en même temps. Je suis resté en lui jusqu’à ce que nous ayons tous les deux retrouvé nos esprits. Une petite douche, changement des draps, et nous avons fini notre nuit  dans les bras l’un de l’autre. 







La situation est devenue cocasse au travail quand, après une nuit de câlins, on arrivait en se saluant comme deux collègues. Puis un jour, nous nous sommes lassés de ces nuits qui devenaient routinières et nous avons préféré mettre un terme à notre liaison. Nous sommes encore restés collègues de travail plus d’un an avant qu’il ne se marie et parte vivre dans le nord de la France. J’ai su qu’il avait eu des enfants par une collègue de travail avec qui il était resté en lien et qu’il avait un jour quitté sa femme pour retourner dans les bras d’un mec ! Chassez le naturel, il revient au galop 

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