vendredi 11 mars 2011

I.  je vais vous avouer que pour ce qui est du I, je n’en ai connu que deux : un en Italie, Ignazio l’inoubliable et un à Douz, dans le sud de la Tunisie : Idris. 
 
Ignazio était le petit ami d’un copain romain : Danilo. Et quand on était parti à déconner, Danilo ouvrait la braguette d’Ignazio pour en sortir son sexe. Et je peux vous garantir que l’effet marchait à tous les coups : on avait sous les yeux un truc plus proche du concombre de mer que du sexe d’un mec normalement constitué. Et je ne vous parle pas de l’érection : on entend souvent dire que si le sexe est gros au repos il ne se développe pas en érection, pour avoir tâté le terrain, je peux vous affirmer que ce n’est pas toujours le cas ! 
 
Mais dans les « I », c’est Idris qui m’a laissé le plus doux souvenir. Il était cadre à l’hôtel Sahara Inn de Douz où nous étions descendus  ce soir là avec un petit groupe avec qui je faisais le Sud Tunisien en 4x4. 

On était crevé après une sortie dans le désert et un bain dans la piscine a été le bienvenu. J’étais allongé sur le bord du bassin seul,  lorsqu’un beau Tunisien est venu me demander si j’avais besoin de quelque chose. Il était très souriant et avait des yeux verts  avec de magnifiques cils très longs qui les mettaient encore plus en valeur. Je lui ai demandé si l’hôtel avait un hammam ou un masseur. Il m’a informé qu’il n’y avait ni l’un ni l’autre mais que le village avait un hammam ouvert pour les hommes dès cinq heures du matin et ce jusqu’à midi. Le hammam était réservé aux femmes à partir de 14 heures, il était donc pour l’instant inaccessible. Je me suis donc contenté du bain très chaud dans les eaux sulfureuses naturelles du bassin. L’odeur n’était pas des plus agréables mais l’eau thermale me détendait.  

Après le repas du soir, les compagnons de voyage ont regagné leur chambre et moi je suis allé boire un dernier verre au bar. Le beau Tunisien y était, on a parlé un peu tous les deux. 

Pour ceux qui vont en Tunisie de temps en temps, la première question est toujours de savoir si on a une gazelle à l’hôtel puis si la réponse est négative, si on en a une qui nous attend en France ! Au moins, ils sont fixés. Je n’avais donc pas ce genre de bétail ni dans ma chambre, ni dans ma vie. Il a semblé satisfait de ma réponse. 

Je suis alors monté dans ma chambre en lui adressant un dernier sourire. J’étais sous la douche quand j’ai entendu frapper à la porte. Le temps de me rincer et de m’envelopper dans ma serviette et j’ouvrais pour découvrir Idris  qui venait me proposer un massage. Il n’y avait pas de masseur à l’hôtel mais lui, depuis sa tendre enfance, avait régulièrement massé des amis au hammam. Quand on a fait des heures de 4x4, c’est une proposition qui est toujours la bienvenue. 

Je me suis retrouvé couché sur mon lit, les fesses cachées par ma serviette de bain avec un beau masseur pour s’occuper de moi. Il m’a demandé la permission de quitter sa cravate puis sa chemise, je ne me voyais pas lui refuser s’il se sentait ainsi plus à l’aise pour masser. Il ne m’a pas demandé par contre l’autorisation de quitter son pantalon  et c’est en slip qu’il m’a massé. Après avoir avec force mais délicatesse massé le cou et le dos, il a fait glisser ma serviette et m’a massé les fesses et les jambes. C’était fort agréable. Il remontait des pieds aux fesses puis le long de la colonne vertébrale et redescendait : c’était un expert. 

Il s’est ensuite attardé sur les fessiers : ça me faisait le plus grand bien car les sièges de la voiture n’étaient pas des plus confortables et les routes très cabossées. J’avais le cul en compote et le massage au début douloureux devenait au  fur et à mesure fort agréable. 

Au bout d’un moment, il s’est laissé glisser sur moi et a commencé à se masturber en coinçant son sexe entre mes cuisses. Sentir sa queue bandée entre mes cuisses me rendait fou. Il a alors essayé de me pénétrer. Je n’avais pas de préservatif et je lui ai expliqué que ce n’était pas possible.  
Petite parenthèse qui m’a laissé perplexe : il m’a alors dit que je ne courrais aucun risque parce qu’il n’était pas malade. Je lui ai répondu que moi, je l’étais peut être. Il m’a alors affirmé que ce ne pouvait pas être le cas car les séropositifs étaient des gens qui ne supportaient pas les fortes chaleurs et qu’ils ne venaient donc pas en vacances dans le désert. J’en ai conclu que si c’était ça leur moyen de prévention, il y aurait bientôt beaucoup de mecs contaminés dans la région ! 

Donc, pour en revenir à notre petite affaire, il a laissé glisser son sexe entre mes fesses et s’est caressé le gland dans mon pli. Il respirait de plus en plus rapidement, j’ai glissé ma main sous moi et me suis masturbé. J’ai senti son jus chaud couler sur mes reins et très excité, j’ai joui presque tout de suite dans ma main. Le temps que je reprenne mes esprits, il s’était essuyé dans ma serviette, s’était à moitié rhabillé et me demandait avec son magnifique sourire s’il m’avait massé comme j’aime l’être. Mon sourire  suffisait à lui exprimer mes remerciements. Il m’a souhaité une bonne nuit et s’est retiré de la chambre. Je suis retourné sous la douche et j’ai passé une excellente nuit. 







Le matin, au petit déjeuner, j’ai cherché Idris dans l’hôtel. Je ne l’ai vu nulle part et ai demandé à un serveur si le responsable était là. Il m’a montré un mec d’un âge avancé qui surveillait le travail du personnel. J’ai insisté en demandant le grand qui était là hier soir : il était de service l’après midi et le soir et ne reviendrait qu’à 16 heures. J’ai rejoint mon groupe qui repartait sur Tozeur. La page était tournée, Idris resterait un bon souvenir de vacances.  
Je ne suis jamais retourné à Douz, mais si vous y allez et que vous croisez dans le hall de l’hôtel un magnifique responsable qui vous propose un massage, un conseil : ne refusez surtout pas ! 

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