
Donc j’ai du rechercher au fin fond de ma mémoire pour me souvenir que sur la plage naturiste de Nice, j’avais rencontré Urbino, un Milanais qui venait s’éclater en France le week-end parce qu’à l’époque, en Italie, ce n'était pas la joie. Pourquoi je me souviens de son nom ? C’est très simple, parce qu’au lycée je trouvais très rigollot quand un prof de géo nous parlait de l’habitat rural et de l’habitat urbain parce qu’il y avait un mec de ma classe dont le nom de famille était Urbain. Très vite donc on pensait à la bite à Urbain. Je sais, ce n’est pas génial mais, entre ados, il en faut peu pour fantasmer.
Il y avait alors sur Nice deux boites et deux saunas gays et les italiens venaient se dévergonder en fin de semaine … ce qui attirait sur Nice pas mal de mecs qui savaient qu’ils trouveraient chaussure à leur pied, enfin, façon de parler parce que si c’était bien notre pied qu’on voulait prendre ce n’était pas forcément avec une chaussure !

On repérait très vite les Italiens à Tata Beach, ils ne quittaient pas leur maillot ! J’ai donc su, dès le premier regard que le mec qui me souriait était un de ces italiens qui venaient s’amuser avec les petits français sur la Cote d’Azur. Comme je vous l’ai déjà dit, à cette époque un sourire et on savait que si on était d’accord, l’affaire pouvait être vite conclue. Je lui ai retourné son sourire, il est de suite venu se présenter : « ye m’appelle Urbino, ye soui dé Milano ».
C’était assez pour ce que je voulais en savoir, je me suis levé et nous sommes partis l’un avec l’autre sur les hauteurs de la plage, dans les bosquets (pour ceux qui ont connu cette époque, dans le jardin d’une villa inhabitée, au dessus de la plage !). Il y avait déjà du monde mais chacun occupé à ses petites affaires. On s’est trouvé un coin calme et j’ai pu voir ce que cachait le maillot. Ce dont je me souviens, c’est qu’Urbino a été le premier mec rasé que j’ai rencontré. Son sexe était nu et dégagé comme celui d’un enfant : ça m’a fait tout drôle mais à l’usage, c’était hyper agréable. J’ai pu le sucer longuement sans avoir un poil qui gâche le plaisir en se coinçant entre deux dents, il n’y avait aucune gène au plaisir et pour moi, je découvrais la sensation inégalable de lécher des couilles imberbes. C’est aussi le premier mec à qui j’ai léché le cul : sans poil j’avais une impression d’hygiène jamais rencontrée chez un autre mec et ma répulsion à pratiquer ce genre d’exercice n’existait plus tandis que le plaisir était décuplé.

J’ai envie de vite passer au « V ». Ma séance de broderie est bâclée !
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