lundi 7 mars 2011

M. Michel, Marc, Mauro le beau Florentin, Maxime et bien sur Mohamed qui m’a fait connaître Marrakech. 

J’ai rencontré Mohamed dans l’avion qui me conduisait sur mon lieu de vacances, lui, il rentrait chez ses parents. Nous nous sommes retrouvés cote à cote dans l’avion, visiblement très satisfaits l’un et l’autre : lui de rentrer pour les vacances après une année scolaire semble-t-il bien remplie, moi partant pour des vacances méritées et de plus assis à coté d'une personne agréable dans cet avion qui comptait une grande majorité de retraités!  

Il était jovial et souriant, la conversation s’est vite engagée. Il m’a parlé de sa ville, de sa région, de ses études : il semblait content de pouvoir un peu faire de la pub pour son pays …et pour lui. Quand nous sommes arrivés à l’aéroport, on était déjà de vieux copains ! 

Il m’a demandé à quel hôtel je descendais. Quand je lui ai parlé des Idrissides, il m’a dit qu’il connaissait bien et qu’il n’habitait vraiment pas loin : il m’a fixé un rendez-vous dans le hall de l’hôtel le lendemain à 10 heures pour me faire visiter Marrakech. Et le lendemain à 10 heures, il était là ! Je dois avouer que j’ai été surpris car ce genre de rendez-vous n’est qu’exceptionnellement  honoré et les promesses d’aéroport rarement tenues. C’est un peu comme ces vacanciers qui se promettent de se revoir, de s’écrire, de se téléphoner et qui, une fois le cours de la vie repris oublient complètement leurs promesses. 

Son père ne lui avait pas prêté sa voiture, c’est donc à pieds que nous sommes partis vers la vieille ville. Elle n’est éloignée que de 500 mètres de l’hôtel et le trajet a été vite fait.  

Après un tour sur la place Djema-el-Fna, nous sommes rentrés dans les souks. Il y connaissait beaucoup de monde et j’ai pu visiter les boutiques en toute tranquillité. Il m’a ensuite conduit dans un ancien palais vraiment très beau. Je commençais à être fatigué et c’est à un café, face à la place, que nous avons bu un coca. J’avais envie de rentrer aux Idrissides pour me reposer mais j’avais peur de le vexer en le laissant. Il a vu que j’étais las et m’a proposé de lui même de me raccompagner à l’hôtel. Habituellement il est interdit aux personnes qui ne sont pas de l’hôtel d’y rentrer et j’ai été surpris quand il est entré avec moi, qu’il est allé saluer le directeur et m’a proposé de passer un moment avec moi à la piscine. Il a vu mon air surpris et m’a dit que son père était très connu et qu’il n’y avait aucun problème pour lui à entrer ici. 

Je n’avais pas de maillot de bain et devais passer dans ma chambre, lui n’en avait pas non plus, je lui ai proposé de lui en prêter un. C’est comme ça que nous nous sommes retrouvés dans ma chambre. J’ai pris une douche et lui ai proposé d’en faire autant s’il le désirait. Il a été tout de suite d’accord et pour ne pas perdre de temps s’est glissé avec moi dans la baignoire. Nous nous sommes chastement lavé le dos l’un de l’autre et quand il s’est retourné, j’ai vu que vraiment j’avais la main douce. Quel dommage ç’aurait été de laisser Mohamed dans cet état. Je me suis baissé pour voir si sa circoncision était bien faite pour ensuite délicatement glisser son sexe dans ma bouche. Il avait une verge moyennement longue, plutôt épaisse et très agréable en bouche. Ma langue caressait les veines de sa verge, faisait rouler son gland dans ma bouche avant de le plaquer contre mon palais pour le coincer et le masturber. Il aimait ça et moi aussi. Nous avons donc continué jusqu’à ce qu’il me dise ne plus pouvoir se retenir. J’ai juste eu le temps de libérer l’objet de mon attention et il m’a giclé à la figure. C’était la première fois que ça m’arrivait et j’ai beaucoup aimé sentir son jus chaud me couler sur le visage. Je me suis essuyé et quand je me suis relevé, il a pris mon sexe encore raide dans sa main et m’a masturbé délicatement. 


Nous avons trouvé deux boxers qui allaient et sommes allés dans la piscine. 
En remontant dans la chambre pour nous sécher, nous avons « remis le couvert » ! C’est lui qui a pris l’initiative en me plaquant sur le lit pour m’embrasser et me caresser puis doucement, après avoir récupéré un préservatif qui était sur la table de nuit, me pénétrer. Son sexe ferme a doucement forcé ma rondelle et d’un coup sec, sans que je n'aie le temps d’avoir la moindre douleur, il était en moi. J’étais en travers du lit et lui, à genoux par terre était juste à la bonne hauteur pour un va-et-vient des plus agréables. Il tenait mes jambes en l’air, moi je me caressais en gémissant. Nous avons jouis en même temps ; il s’est affalé sur moi, m’a embrassé. Nous sommes restés tous les deux anéantis de bonheur. 









Chaque jour de ma semaine de vacances il m’a fait découvrir son beau pays … et des plaisirs nouveaux. Il reste lui aussi inscrit dans mon livre des excellents souvenirs de vacances ! Quand je suis retourné à Marrakech, il était en France et nous ne nous sommes jamais revus. C’est pas plus mal car la seconde fois n’aurait pas pu égaler en plaisir ce que je venais de vivre. 
 

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